En tant que future enseignante, je me dois de maîtriser la langue écrite. La langue écrite me permet de pouvoir rédiger des questions d’examen dans un français adéquat. Dans ce bloc, j’ai fait une révision des notions de grammaire nécessaire à mon enseignement et pour le test SEL. Les notions vues sont le lexique, syntaxe et ponctuation et cohérence textuelle.
La grammaire de la phrase consiste à comprendre les classes de mots et la terminologie. Il y a 8 classes de mots soit les invariables ou variables. La classe de mots invariables contient la préposition, conjonction, adverbe. Une préposition sert à insérer un complément. La conjonction fusionne deux mots de même catégorie. L’adverbe modifie le sens d’un nom. La classe de mots variables contient le déterminant, nom, pronom, adjectif et les verbes. Le déterminant accompagne le nom. L’adjectif modifie le sens du nom. Le pronom remplace un groupe de noms. Les verbes sont des prédicats d’une phrase. Le prédicat donne l’action dans une phrase de base.
La terminologie d’une phrase consiste comporte les adjectifs qualifiants et classifiants, compléments du verbe, déterminants. La phrase de base contient obligatoirement un groupe sujet et verbal. Le groupe complément de phrase consiste en un groupe complémentaire pouvant être supprimé sans changer le sens de la phrase. Pour pouvoir analyser une phrase correctement, il est possible de souligner le groupe sujet et le groupe verbal. On peut faire des flèches qui nous permettent de vérifier l’accord des groupes.
La ponctuation est un système de signe servant à noter des poses et intonations dans la langue orale. Par exemple, les deux-points servent à introduire un discours direct.
Le temps de verbe sert à se situer dans le temps. Dans le système verbal, cela comprend le présent, le passé et le futur. Il est important dans le texte de respecter le même temps verbal. Cela nous permet de situer le contexte du texte.
Le texte argumentatif consiste à défendre notre point de vue et de le faire adopter à notre lecteur. L’introduction sert à annoncer le sujet à débattre. Le sujet amené consiste à énoncer un fait qui captera l’attention du lecteur. Le sujet posé contient la question à débattre. La thèse est l’opinion de l’auteur, prise de position. Le sujet divisé indique les aspects qui seront abordés. À chaque fois qu’un argument est émis, il est primordial de le soutenir avec une preuve (statistiques par un organisme reconnu, témoignages, études, références…)
Pour mes forces en langue écrite se situe au niveau de l’orthographe d’usage, vocabulaire et orthographe grammaticale. Je maîtrise le vocabulaire de base. Dans un texte formatif, je n’ai eu aucune faute d’orthographe. Au secondaire, j’avais déjà acquis toutes les règles de grammaire. En classe, je n’ai pas eu de difficulté à faire les exercices de la brochure (exercices portant sur l’emploi du pronom relatif, sur la ponctuation, identification des éléments de la phrase de base). Si j’ai des doutes, je n’hésite pas à consulter le dictionnaire ou une grammaire.
Ma seule faiblesse se situe au niveau de la cohérence textuelle. Parfois, quand je m’emporte trop, mon texte perd un peu de sens. D’une part parce que mes phrases sont trop longues ou bien que j’ajoute trop de description ce qui alourdit le texte.
Comme piste perfectionnement, je fais des dictées régulièrement en ligne (http://www.ladictee.fr/). J’utilise un logiciel français, Methodia, qui présente les règles de grammaire sous forme de jeu. Je dois trouver l’erreur dans une phrase et ensuite un bilan est fait sur mes performances
La compétence 1 consiste à « agir en tant que professionnelle héritier, critique et interprète d’objets de savoirs ou de culture dans l’exercice de ses fonctions.». Avant le cours, et je m’assurais de bien lire les lectures recommandées. Pour ce faire, je consultais le plan de cours et le Wiki Digest (comprend les messages et modifications faites par notre professeur).
La compétence 2 se dicte comme cela : « communiquer clairement et correctement dans la langue d’enseignement à l’oral et à l’écrit, dans les divers contextes liés à la profession enseignante ». Dans ce bloc, je n’ai pas eu la chance de pratiquer cette compétence.
La compétence 11 s’énonce comme suit : « s’engager dans une démarche individuelle et collective de développement professionnel ». Même si mon est domaine est les mathématiques, je m’assure de bien comprendre les notions de ce cours. Il m’arrivait souvent de me référer à ma grammaire et à mes livres de grammaire de secondaire. J’utilise fréquemment me fiches de grammaire de secondaire 3.
La compétence 12 se lit comme suit : « agir de façon éthique et responsable dans l’exercice de ses fonctions ». En tant qu’étudiante, je me dois de participer au cours et de démontrer mon intérêt. J’ai suivi les consignes de l’enseignante, par exemple, faire des exercices, lecture…
MARIE-EVE CLAVET
mardi 14 avril 2009
Le 3 avril: À la découverte de la grammaire du texte
Lors de cette belle journée, j'ai eu droit à une double dose du cours ( durée totale du cours 6 heures).
Les trois premières heures du cours étaient réservées à la grammaire du texte , les trois autres à la structure d’un texte argumentatif.
La grammaire de la phrase consiste à comprendre les classes de mots et la terminologie. Il y a 8 classes de mots soit les invariables ou variables. La classe de mots invariables contient la préposition, conjonction, adverbe.
La terminologie d’une phrase consiste comporte les adjectifs qualifiants et classifiants, compléments du verbe, déterminants. La phrase de base contient obligatoirement un groupe sujet et verbal.
La ponctuation est un système de signe servant à noter des poses et intonations dans la langue orale.
Le texte argumentatif consiste à défendre notre point de vue et de le faire adopter à notre lecteur. L’introduction sert à annoncer le sujet à débattre. Le sujet amené consiste à énoncer un fait qui captera l’attention du lecteur. Le sujet posé contient la question à débattre. La thèse est l’opinion de l’auteur, prise de position. Le sujet divisé indique les aspects qui seront abordés. À chaque fois qu’un argument est émis, il est primordial de le soutenir avec une preuve (statistiques par un organisme reconnu, témoignages, études, références…)
Marie-Eve Clavet
Les trois premières heures du cours étaient réservées à la grammaire du texte , les trois autres à la structure d’un texte argumentatif.
La grammaire de la phrase consiste à comprendre les classes de mots et la terminologie. Il y a 8 classes de mots soit les invariables ou variables. La classe de mots invariables contient la préposition, conjonction, adverbe.
La terminologie d’une phrase consiste comporte les adjectifs qualifiants et classifiants, compléments du verbe, déterminants. La phrase de base contient obligatoirement un groupe sujet et verbal.
La ponctuation est un système de signe servant à noter des poses et intonations dans la langue orale.
Le texte argumentatif consiste à défendre notre point de vue et de le faire adopter à notre lecteur. L’introduction sert à annoncer le sujet à débattre. Le sujet amené consiste à énoncer un fait qui captera l’attention du lecteur. Le sujet posé contient la question à débattre. La thèse est l’opinion de l’auteur, prise de position. Le sujet divisé indique les aspects qui seront abordés. À chaque fois qu’un argument est émis, il est primordial de le soutenir avec une preuve (statistiques par un organisme reconnu, témoignages, études, références…)
Marie-Eve Clavet
vendredi 13 mars 2009
Le 6 mars: début du bloc écrit
Le 6 mars : Début de du bloc écrit
La visée d’un texte consiste à indiquer l’intention de l’émetteur (informative, persuasive…). Le texte argumentatif sert à persuader notre lecteur de se lier à notre cause. Nous avons revu les stratégies pour enseigner le texte argumentatif (brochure remise) ainsi que les éléments qu’il devrait contenir
Nous avons aussi analysé des textes, en identifiant le qui, quoi, pourquoi,comment…
La visée d’un texte consiste à indiquer l’intention de l’émetteur (informative, persuasive…). Le texte argumentatif sert à persuader notre lecteur de se lier à notre cause. Nous avons revu les stratégies pour enseigner le texte argumentatif (brochure remise) ainsi que les éléments qu’il devrait contenir
Nous avons aussi analysé des textes, en identifiant le qui, quoi, pourquoi,comment…
jeudi 5 mars 2009
Synthèse en langue orale : Bloc 1
En enseignement, il est primordial de s’exprimer dans un français exemplaire. Pour cela, il est important de bien maîtriser sa langue pour être bien comprise. Dans le cadre du cours expression orale et expression écrite, nous avons pratiqué les différentes compétences langagières (linguistique, discursive, communicative) afin de perfectionner certaines techniques linguistiques qui nous aideront à mieux communiquer.
Lors de ce cours, j’ai acquis des connaissances à propos des différentes composantes de la langue française. La gestuelle peut en dire beaucoup sur les intentions de l’interlocuteur. Un seul geste, regard peut faire un effet soit d’ennui ou d’enthousiasme chez notre récepteur. J’ai appris l’importance de la diction, projection de la voix et les particularités de la langue française. Nous avons énuméré les défauts liés à l’intonation, prononciation. On a aussi observé les qualités reliées au rythme, voix, intonation. Les particularités de la langue française sont : palatalisation, aspiration, diphtongaison, oppositions phonologiques. La présentation de vidéo a permis de voir des orateurs en action et de les analyser. Nous avons aussi discuté des anglicismes que nous utilisons dans notre quotidien. Dans le Codex, on a fait des exercices se rattachant à ce thème.
Pour ce faire, à chaque fin de cours, nous étions appelées à nous exprimer sur différents sujets d’actualité (clavardage, drogue à l’école…). Une observatrice remplissait une fiche avec les points forts et faibles du locuteur. À l’aide de cette rétroaction, chaque étudiante pouvait déterminer laquelle des compétences langagières orales était sa force et sa faiblesse.
En consultant les fiches de l’observatrice, pour ma part, j’ai déduit que mes forces se situaient surtout au niveau de la compétence langagière orale discursive et communicative. En ayant une bonne préparation, je n’avais pas de difficultés à suivre une conversation (compétence langagière discursive) . Mes arguments étaient toujours bien préparés et bien composés. Je m’assurais de trouver des textes supplémentaires pour appuyer mon argumentation. La consultation de la base de données Eureka me permettait de trouver des articles supplémentaires. Je n’hésitais pas à compléter les arguments de mes coéquipières. Par exemple, une coéquipière avait un très bon argument que je complétais avec l’appui d’un texte. J’ai aussi constaté que pour conserver l’attention de l’auditoire, il fallait parler de sujets intéressants et captivants. Je faisais état souvent de mes expériences personnelles. Le fait de me référer à mon expérience en milieu scolaire privé, mes coéquipières me posaient différentes questions pour mieux comprendre celui-ci. Bref, une bonne préparation et une sélection rigoureuse de bons arguments permettent d’acquérir la compétence langagière orale discursive.
Pour la compétence communicative, j’ai de la facilité avec plusieurs de ses éléments. Le ton de ma voix était apprécié de mon auditoire. J’utilisais un ton engagé et positif. Pour ce qui est du débit, il est modéré c’est-à-dire que parfois j’ai tendance à parler trop vite. De plus, j’étais très engagée et intéressée à la conversation.
La compétence langagière orale linguistique est celle que j’aurais intérêt à pratiquer davantage. Dans notre quotidien, nous utilisons différentes expressions personnelles. Parfois, j’employais des expressions familières : pis, tsé, pis y’on... J’utilisais aussi des abréviations d’un mot sans en dire la signification ( TIC : technologie de l’information et de la communication).
À l’avenir, je désire me fixer des pistes de perfectionnement et des défis personnels. Au colloque de l’enseignement 2009, à Chicoutimi, j’ai choisi un atelier « la voix » présenté par Érika Brisson. Le but de cet atelier est de prendre conscience du médium vocal afin d’optimiser le rendement de la voix. Je voudrais aussi enrichir mon vocabulaire. Le fait de choisir les bons mots rend la discussion plus riche et précise.
Au cours de notre formation, nous avons à développer douze compétences. Lors de ce cours les compétences 1, 2, 11, 12 étaient sollicitées. J’identifierai comment j’ai pu pratiquer ces compétences tout au long de la session.
La compétence 1 qui consiste à « agir en tant que professionnelle héritier, critique et interprète d’objets de savoirs ou de culture dans l’exercice de ses fonctions.»[1] Avant l’activé, je m’assurais de maîtriser le contenu de l’échange. Mes résumés personnels m’aidaient à me préparer. À plusieurs reprises, je faisais appel à des exemples de la vie courante. Quand il était question de l’école privée, je pouvais raconter quelques anecdotes.
La compétence 2 se dicte comme cela : « communiquer clairement et correctement dans la langue d’enseignement à l’oral et à l’écrit, dans les divers contextes liés à la profession enseignante »[2]. Lors de la discussion, j’ai essayé d’utiliser un langage correct. J’ai été capable de communiquer clairement mes pensées. Mes collègues et moi pouvions donc échanger.
La compétence 11 s’énonce comme suit : « s’engager dans une démarche individuelle et collective de développement professionnel »[3]. Pour pouvoir se prononcer sur un sujet, il faut se documenter en consultant divers ouvrages. Donc, je m’assurais de lire le dossier et de sortir des informations pertinentes pour la discussion.
La compétence 12 se lit comme suit : « agir de façon éthique et responsable dans l’exercice de ses fonctions »[4]. Si je me situe en tant que locuteur, je n’ai jamais tenu des propos pouvant porter atteinte à la dignité de mes collègues ou futurs élèves. Je respectais mes collègues qui avaient des opinions divergentes de la mienne. Quand je donnais de la rétroaction, je m’assurais toujours d’être juste et respectueuse.
Pour conclure, l’activité discussion m’a aidé à mieux me connaître en tant qu’oratrice. Le groupe de discussion nous permettait de s’exprimer sans gêne devant un auditoire. À chaque cours, je cherchais des nouveaux mots de vocabulaire pour enrichir mes échanges. Les sujets choisis par l’enseignante étaient d’actualité. En tant que future enseignante, il est important de comprendre la réalité dans laquelle nos futurs étudiants vivent.
[1] Ministère de l’Éducation du Québec (2004). Programme de formation de l’école québécoise, p.22
[2] Ibid
[3] Ministère de l’Éducation du Québec (2004). Programme de formation de l’école québécoise, p.22
[4] Ibid
lundi 2 mars 2009
Cours 7: le 20 février
Thème : Choisir le sujet de la table ronde du 6 mars
Dans ce cours, j’ai appris à analyser des vidéos. Notre professeure nous a présenté des vidéos d’orateur (Jean Chrétien, Maurice Richard) que nous devions analyser (exprimer par écrit l’effet du discours sur notre perception). J’ai bien aimé cette activité, car il était intéressant de mettre enfin en pratique les nombreuses connaissances acquises depuis le début de la session.
On aussi fait la lecture du texte : les composantes d’une grammaire du textePour la discussion, nous n’avons pas eu le temps de la faire. Nous avons, en équipe, décidé du déroulement pour l’examen. L’effet de la publicité sur les jeunes et les comportements déviants chez les jeunes seront nos sujets. Nous avons séparé l’équipe en deux petits groupes de 4. La discussion sera sous forme de table ronde ( tout le monde en parle). Chacun aura environ 3 minutes pour exprimer son point de vue et ensuite ce sera une discussion collective
J’ai aussi travaillé les compétences professionnelles suivantes : C2(maintenir une discussion dans un français correct), C11 ( faire les lectures recommandées sur le sujet), C12 (resoect des opinions divergentes)
Dans ce cours, j’ai appris à analyser des vidéos. Notre professeure nous a présenté des vidéos d’orateur (Jean Chrétien, Maurice Richard) que nous devions analyser (exprimer par écrit l’effet du discours sur notre perception). J’ai bien aimé cette activité, car il était intéressant de mettre enfin en pratique les nombreuses connaissances acquises depuis le début de la session.
On aussi fait la lecture du texte : les composantes d’une grammaire du textePour la discussion, nous n’avons pas eu le temps de la faire. Nous avons, en équipe, décidé du déroulement pour l’examen. L’effet de la publicité sur les jeunes et les comportements déviants chez les jeunes seront nos sujets. Nous avons séparé l’équipe en deux petits groupes de 4. La discussion sera sous forme de table ronde ( tout le monde en parle). Chacun aura environ 3 minutes pour exprimer son point de vue et ensuite ce sera une discussion collective
J’ai aussi travaillé les compétences professionnelles suivantes : C2(maintenir une discussion dans un français correct), C11 ( faire les lectures recommandées sur le sujet), C12 (resoect des opinions divergentes)
Cours 6 : le 13 février
Thème : Le retour de l’uniforme
Au début du cours, nous avons vu les composantes de la réforme. En groupe, nous avons discuté du réalisme de l’application de la réforme en milieu scolaire. Il y a des savoirs-faire et des savoirs-être. Il faut que l’élève puisse appliquer les connaissances dans son quotidien. L’apprentissage par projet permet à l’élève de chercher sa propre théorie et ainsi la rendre plus signifiante à ses yeux.
J’ai aussi appris qu’il est très, très important de suivre un plan de cours à la lettre. Certains étudiants ont fait valoir leur point en environ 40 minutes…
Côté théorie, les anglicismes sont présents dans notre quotidien. Il y en a plusieurs qui sont ancrées dans notre langage. En groupe, nous avons un exercice du manuel où il fallait identifier l’erreur dans la phrase (très bonne pratique pour le test SEL.
Pour ce qui est de la discussion, nous n’avons pas eu le temps de la faire.
J’ai aussi travaillé les compétences professionnelles suivantes : C2(maintenir une discussion dans un français correct), C11 ( faire les lectures recommandées sur le sujet), C12 (resoect des opinions divergentes)
Au début du cours, nous avons vu les composantes de la réforme. En groupe, nous avons discuté du réalisme de l’application de la réforme en milieu scolaire. Il y a des savoirs-faire et des savoirs-être. Il faut que l’élève puisse appliquer les connaissances dans son quotidien. L’apprentissage par projet permet à l’élève de chercher sa propre théorie et ainsi la rendre plus signifiante à ses yeux.
J’ai aussi appris qu’il est très, très important de suivre un plan de cours à la lettre. Certains étudiants ont fait valoir leur point en environ 40 minutes…
Côté théorie, les anglicismes sont présents dans notre quotidien. Il y en a plusieurs qui sont ancrées dans notre langage. En groupe, nous avons un exercice du manuel où il fallait identifier l’erreur dans la phrase (très bonne pratique pour le test SEL.
Pour ce qui est de la discussion, nous n’avons pas eu le temps de la faire.
J’ai aussi travaillé les compétences professionnelles suivantes : C2(maintenir une discussion dans un français correct), C11 ( faire les lectures recommandées sur le sujet), C12 (resoect des opinions divergentes)
Cours 5 : le 6 février
Thème : Pour ou contre les devoirs à la maison?
Dans ce cours, j’ai appris l’importance de la gestuelle et l’alphabet phonétique. La gestuelle peut en dire beaucoup sur les intentions de l’interlocuteur. Un seul geste, regard peut faire un effet soit d’ennui ou d’enthousiasme chez notre récepteur. L’alphabet phonétique permet d’écrire les mots selon leur prononciation.
Pour ce quoi est de la discussion, j’ai travaillé surtout ma gestuelle en observant l’effet sur mes collègues. J’ai gardé plus souvent le contact visuel avec mon auditoire. J’ai aussi approuvé à plusieurs reprises en faisant des gestes de tête, mouvements de bras.
Dans ce cours, j’ai appris l’importance de la gestuelle et l’alphabet phonétique. La gestuelle peut en dire beaucoup sur les intentions de l’interlocuteur. Un seul geste, regard peut faire un effet soit d’ennui ou d’enthousiasme chez notre récepteur. L’alphabet phonétique permet d’écrire les mots selon leur prononciation.
Pour ce quoi est de la discussion, j’ai travaillé surtout ma gestuelle en observant l’effet sur mes collègues. J’ai gardé plus souvent le contact visuel avec mon auditoire. J’ai aussi approuvé à plusieurs reprises en faisant des gestes de tête, mouvements de bras.
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